.: Tristana :.

Nom :
Elle l'ignore elle-même, enfin... elle voudrait l'ignorer...

Prénom:
Tristana

Groupe:
Indifférent

Race:
Simple humaine

Dons:
Insignifiants êtres inférieurs, les connaissances de Tristana lui permettent de manipuler les anatomies les plus complexes, elle saitt infliger la douleur, elle sait soigner... elle sait se montrer insensible. Elle est le passage entre les puissances élémentaires et le monde des mortels, absorbant ces pouvoir du centre de la terre. La puissance de Feu est détenue grâce à l'indomptable magma, souverain souterrain. Les vastes étendues aquatiques se tiennent, internes à l'espace qui leur est propre... un simple geste de Tristana et la terre se soulèverait au même instant que les océans. Les tornades se déchaîneront au gré de ses envies, les végétaux maléfiques lui obéiront. Les préparations que son apprentissage d'alchimiste lui vaut une connaissance des plantes et de préparations étrangement puissantes, ce qui en fait un atout considérable en bataille. Les éléments qu'elle invoque lui prêtent main forte, Lélio, l'élément végétal, OracL, l'élément du mal, et Daïni, l'élément du bien... Son plus grand regret demeurt dans le fait que jamais sa puissance n'atteindra le millième de ce que la nature peut infliger, elle ne peut la contrôler qu'à l'échelle humaine, qu'à l'échelle de faiblesse. Elle ne peut nuire qu'aux humains et autres vils créature, jamais à la puissance terrestre.

Signe particulier:
Tristana est la fille de son frère... enfin, celle de sa grand mère. Elle est accompagnées de ses invocations en permanance et se montre peu en société, préférant la solitude et la méditation. Cette manière prétencieuse de parler d'elle-même à la troisième personne...

Monture:
Saart est un haut cheval noir exclusivement, un cheval endurant et que Tristana n'a jamais quitté depuis le drame de l'auberge.

Histoire:
Infâme tâche que de narrer l'histoire de Tristana, l'enfant détruite, l'adolescente meurtrie et l'adulte folle. Je n'userais cependant point de stratagème, et remplirais mon devoir, visant à vous apprendre l'existence de cette petite fille, innocente et naïve, dont le parcourt chaotique fut écrit bien avant sa naissance, dans les pages insondables du destin humain...

Commençons par le commencement.

Nous sommes en pleine période de conquête. Les peuples s'autodétruisent. Le royaume de Kaparaa connait la maladie, les sujet meurent... Jamais encore on eut à faire à pareil situation au Palais. Le Roi et la Reine sont désespérés, leur fils unique est atteint de la peste. Il mourrera dans quelques heures. On force les portes massives de la chambre princière. Les gardes tombent, morts. S'avance alors une silhouette encapuchonnée, une peau d'ours sur le dos. Les crocs de l'animal menaçant au niveau du front de cet homme au regard étrange, à la mine déterminée... le savoir se lit dans ses yeux. Il prend la parole:

" Je te salue, Ô mon Roi... C'est ton fils unique qui se trouve entre ces draps. Il se meurt, mon Roi. Bientôt Kaparaa n'aura plus d'héritier, et j'ose insinuer que mon Roi ne saura en engendrer de nouveaux à son âge avancé... Kaparaa n'est pourtant pas perdu, mon Roi, je te conseille d'écouter attentivement ce que je vais te dire..."

C'est alors que l'homme apprend au Roi Motilvhk et à son épouse que le mal de leur fils pourra être traité, et que pour cela il doit l'emmener avec lui, dans cette grotte, là haut dans la montagne, où il sera guérit, et pourra ainsi prendre le trône une fois l'heure venue.
Motilvhk et sa femme, Eminaa s'entre regardèrent. Leur fils est mourrant. Il ne sera plus de cette terre de toutes façons dans les heures qui suiveront...
La Reine quitte la chambre princière secouée de francs sanglots. Le corps à peine animé du Prince Amnothy fut transporté dans cette grotte dans les trois heures qui suivèrent. Le prince est fiévreux. Le souffle incertain de la vie luttant avec peine contre la faucheuse soulève sa poitrine. Le Roi laisse son unique espoir de voir Kaparaa reigné par son descendant directe dans cette grotte, obscure et froide, avec ce medecin étrange...
Passèrent huit années, pendant lesquelles nul n'entendit plus parler du Prince Amnothy. Le roi se faisait vieux, le chaos avait quitté son royaume cependant, et la prospérité était de retour. Il était grand temps pour lui de laisser enfin, sa place à son héritié légitime...
Un soir, dans son lit de mort, il fit appeler sa femme, la merveilleuse et jeune Eminaa, dont le visage s'était creusé durant ces huit années où elle n'avait plus vu son unique enfant alors agé de dix ans. Vêtue de cette robe immaculée, blanche telle la pure vérité qu'elle incarnait, il lui demanda alors de faire chercher leur fils, jusqu'à ce qu'on le retrouve, et qu'enfin, il monte sur le trône. Sur ces paroles étouffées, Motilhvk quitta ce monde, l'image de sa femme, si jeune et si belle en dernier souvenir de cette vie.
La reine Eminaa fit immédiatement rechercher son fils unique, à une empleur concidérable. Il fallait le retrouver. Le Roi était mort, elle était seule. Son fils devait prendre le trône... enfin.
Il fut recherché activement dans tout le royaume et au delà. Seuls les descendants de la famille royale avait ces yeux gris, couleur des nuages dans le ciel azuré...
Des montagnes inconditionnelles, le devin guettait. Le vol des oiseaux lui avaient appris la mort du Roi, et un rictus diabolique s'était alors formé sur ses lèvres minces et gercées. De la grotte était alors sortit ce jeune homme de grande taille, à peine dix huit ans et déjà cette carrure imposante, cette force d'esprit, ce caractère et cette sagesse...

"Que se passe t-il, père?
- Le Roi est mort, Yhtony... et nous allons allez présenter nos sincères condoléances à la Reine Eminaa..."

Au moment où il franchissait les portes du Palais, Yhtony sentit une impression de déjà vu s'emparer de lui... il savait qu'il avait passé son enfance au coeur de Kaparaa, et que "son père" l'avait emmené au loin de la vie en ville, pour son éducation et son ouverture d'esprit...
En vérité, la fièvre avait rendu le garçon amnésique. Profitant de cette occasion, le devin l'avait élevé comme son propre fils, lui inculquant des valeurs fondamentales... et surtout, lui cachant son véritable rang. Il l'avait renommé Yhtony... L'oracle ne mentait jamais... La vérité éclaterait... mais plus tard...

" Tu vas aller seul présenter tes condoléances à la Reine, mon fils... j'ai d'importantes choses à faire en ville, et le soutient d'un jeune homme sera plus réconfortant pour Eminaa que celui d'un vieillard."

Amnothy avait l'habitude de ne pas discuter les ordres de son père, il s'engagea donc seul dans la salle du trône, où un commandant apprenait à la reine que malgré les recherches intensives, on n'avait pas retrouvé le Prince, ni trace de l'homme à la peau d'ours.
Les yeux de la Reine se fermèrent, laissant couler de silencieuses larmes de désespoire... Le commandant quitta la salle, la tête haute, un profond regret sur ses traits.
Qu'elle était belle... une véritable Reine...
Elle braqua ses yeux embrumés sur lui... il s'agenouilla...

"Ma Reine je vous présente mes sincères condoléances pour le Roi... ce fut un divin souverain...
- Merci, noble sujet... Quel est votre nom?
- Mon modeste nom, Madame, n'est autre qu'Yhtony...
- Yhtony un bien joli nom... Allez en paix mon brave..."

Au moment où il se levait, le Prince ignorant regarda la reine Eminaa, sa mère qu'il ne connaissait plus...

"Je n'ais pû, ma Reine, faire autrement que d'entendre votre conversation avec le chef des armée... si je puis vous être utile, ma Reine, je suis à votre entière disposition.
- Vous êtes un bien bon sujet, Yhtony. Quel age avez vous?
- Vingt ans, ma Reine...
- Vingt ans... Mon fils serait un peu plus jeune que vous... et certainement moins grand, son père n'était pas grand homme par la taille, mais immense par le coeur..."

Jamais le devin n'eut à revenir. Il avait emmener le prince à la reine, tout deux ignorant qui ils étaient réellement. La reine ne pû reconnaitre son propre fils, que la vie en montagne avait changé, et dont les pouvoirs du devin avaient changé la couleur des yeux au moment où le jeune homme franchissait la porte du Palais...
Bientôt, Kaparaa célébra le mariage de la Reine, et de cet homme si jeune, arrivé d'on ne savait où... Naquit une petite fille, trois années plus tard, du nom de Tristana.
Yhtony reignait avec Eminaa. C'était un nouveau Roi fort apprécié, ayant juré que si l'héritier légitime de Mothilvk réapparaissait, il lui léguerait le trône, comme c'était pour lui l'ordre des choses...
Ce fut au bout de année de prospérité que le devin réapparu, demandant à voir le Roi. A sa venue, le visage d'Yhtony s'illumina, celui d'Eminaa se ferma. Elle le reconnu immédiatement. Le voyant seul, son espoire de retrouver un jour son fils se brisa...
Ce ne fut rien en comparaison au sentiment terrifiant qu'elle éprouva entendant son mari l'appeller père...
Debout, elle s'effondra... Un regard suppliant dardé sur le devin... Yhtony se précipita pour aider sa "femme"... elle lui interdit de la toucher. Le regard du jeune roi redevint de ce gris royal de naissance, c'étant dissipé cinq années durant...
La Reine Eminaa regarda le devin...

"Tu as épousé ton propre fils, ma Reine. Paix et prospérité à ton Royaume."

Le chaos s'abattit une nouvelle fois sur Kaparaa. La reine avait épousé malencontreusement son propre fils, l'héritier du trône... la Princesse était la soeur de son père... et la petite-fille de sa mère.
A cette nouvelle, Yhtony, que l'on appellait maintenant par son vrai nom, Amnothy, s'en alla du Palais, et se donna la mort, se noyant, une lourde pierre attachée à son pied droit, se jetant d'une falaise dans la mer déchainée...
Eminaa quand à elle quitta le palais avec sa fille, Tristana, enfant de cette union incestueuse...
Elles parcoururent le pays, Tristana alors agée de cinq ans seulement. Eminaa, cette Reine salie, femme de son propre fils, mère de sa petite-fille...
C'est dans une ville reculée qu'elle entreprit de vivre, dans une auberge mal famée, où elle offrait aux voyageurs ses faveurs mal venues pour payer le logis...
Tristana errait dans la rue, tandis que l'on entendait le rire d'Eminaa, Reine déchue réduite à la profession de catin. Personne ne les connaissait ici, elle y vécurent donc deux années durant, jusqu'à ce que la mort emporte Eminaa, une maladie incurable, lui faisant cracher du sang.
La petite Tristana se retrouva donc orpheline à l'age de sept ans. L'aubergiste ne voulant pas la garder, elle fut recueillie par des marchands ambulants, qui la gardèrent, la faisant voyager avec eux à travers la terre du milieu. Elle connu alors Miribon, un homme étrange, parlant peu. Tristana lui vouait un véritable culte secret. C'est une nuit, alors qu'elle était agée de neuf ans, qu'elle s'approcha de lui pour la première fois. Il était assis devant un feu de camp, seul. Elle s'installa à coté de lui. Il la regarda un instant, la sondant de ses yeux verts... enfin, ce fut la première fois que Tristana entendit le son de sa voix. Ces paroles lui glacèrent le sang:

"Tristana. Les yeux gris de son père... ou devrais je dire de son frère. Fille de l'union de la Reine Eminaa et de son fils Amnothy, mort par suicide, les eaux ayant raison de lui, quand à la Reine, sa profession fort pathétique l'aidèrent à finir ses jours dans la souillure dont elle s'était embourbée depuis la naissance de son fils. "

Comment connaissait-il son identité? Elle n'en avait jamais dit mot...

"Tu as un potentiel considérable, jeune Tristana. Je peux faire de toi l'être le plus puissant qu'il soit. Tu devras me suivre pour cela, et prêter serment d'être à mes ordres. Tu seras maléfique, Tristana... plus jamais tu ne connaitras l'errance et l'irrespect dont les hommes ont fait preuve envers toi..."

Elle l'avait suivit.
Ils étaient partis dans la nuit, à cheval...

Ce fut le commencement de neuf années difficiles pour Tristana, très difficiles. Miribon lui enseigna la magie noire, car c'est ce qu'il était: un mage noir. Lui apprenant l'alchimie, il lui apprit des connaissances en magie blanche et rouge, ainsi que des sortilèges en tous genre, plus puissant les uns que les autres. Tristana était douée, très douée même. Elle savait invoquer un esprit, et à quinze ans, elle les maitrisait tous, les esprits les plus vils étaient à sa merci...
A seize ans elle savait toutes les bases de la magie, et Miribon se demandait si elle n'était pas trop jeune pour avoir le titre de magicienne... Elle était si douée... et si belle...
Une nuit, alors qu'ils étaient dans une cité, Tristana invoqua la puissante Maîtresse Démoniaque Madopta, sur un pantacle tracé sur les dalles de bois de sa chambre d'auberge. Après un entretient pendant lequel la jeune femme alors agée de dix sept ans démontra à Madopta qu'elle était extrêmement puissante, la Maîtresse démonaique lui fit cadeau de LoracL, un poulain, extrêmement petit, tenant dans les frêles bras de la jeune fille, incarnation des forces démoniaques sur terre... Si elle s'en occupait, il serait un atout de taille pour elle...
Une fois que Madopta s'en fut retournée dans les profondeurs de l'au delà, Tristana appela Miribon, lui montrant LoracL... L'homme regarda sa pupille aux yeux gris. Elle avait invoqué l'une des treize puissances magiques, et avait reçu un présent de l'un deux...
Il ne quitta pas sa chambre cette nuit là. Il ne quitta jamais son coeur non plus, où il était Roi, depuis si longtemps... Ils étaient arrivés en tant que Maître et Elèves... ils repartirent en tant qu'amants. Jamais Tristana n'aima à ce point. Lors de ses dix huit ans, elle tomba enceinte.
LoracL grandissait, il resterait à jamais petit, mais sa puissance ne faisait qu'augmenter. Des flammes commençaient à naître au niveau de ses sabots, et la blancheur immaculée du poulain commençait à montrer des flammes sous sa peau. Tristana s'occupait à merveille de son invocation qui la suivait partout, docile avec elle seulement.
Elle multipliait les invocations, les soirs de pleine lunes...
Un démon lui offrit l'être du Bien, Daïni, cette petite fée de fumée aux couleurs de l'aurore... aux mêmes conditions que LoracL, elle devait s'en occuper pour voir sa puissance déculper... La jeune fille se retrouva donc avec deux invocations: le Bien, et le Mal...
Ô Comme elle aurait été puissante...
Enceinte de cinq mois, Tristana suivit Miribon dans une ville fort reculée. LoracL et Daïni s'agitaient... Miribon n'avait pas voulu les écouter. La jeune femme s'inquiètait quand à elle, mais elle suivait le père de son enfant partout où il allait... elle devait lui faire confiance.
Sa vie entière bascula cette nuit là. La ville fut attaquée, l'auberge assaillie... Pris par surprise, Miribon fut paralysé et tué, un coup d'épée dans la nuque... Quand à Tristana...
Elle ne pouvait se servir de ses pouvoirs enceinte... Les invocations étaient furibondes, mais pas assez puissante pour la sauver... pour sauver son enfant...
La jeune femme vécu la pire nuit de son existence.
A l'aube, son enfant n'était plus, et elle gisait, en sang, sur le plancher de l'auberge, dans une profusion de liquide rouge. Morte.
LoracL et Daïni ne pouvait laisser ainsi celle qui avait été leur Maîtresse, celle qui portait la vie à l'instant même où l'un et l'autre étaient apparut. La vie de cet enfant sauverait sa mère...
Ce fut avec difficulté que les deux invocations ramenèrent à la vie Tristana. Maudite Tristana...
Dès son rétablissement, elle invoqua une nouvelle puissance, la puissance élémentaire végétale. Miribon était mort, son enfant était mort... La puissance voulu lui offrir une mandragore, cette plante rêvant d'être humaine... La haine de Tristana était telle qu'elle la refusa. D'outrage de ce refus, le Végétal lui donna Lélio, cet enfant tellement difficile qu'abandonné dans la nature, pour devenir lui même végétal... Lélio, l'indomptable Lélio, le malheureux Lélio...
Les siècles ont passé. Tristana garde cette apparance triste de jeune femme de dix sept ans, malgré les siècles passés. Morte réssucitée par les invocation qu'elle élève et rend plus puissantes, de jour en jours, depuis des siècles...
LoracL, Daïni et Lélio sont à ce jour les êtres invoqués les puis puissant sur terre... Tristana a tout vu, connait tout de l'histoire... sa tait. Elle vie dans la mort. Elle hais ces femmes, porteuses d'enfants, alors qu'elle a perdu le sien en même temps que son amour...
Elle ne vit que pour eux... LoracL, Daïni et Lélio... ils sont sa raison d'être... ils sont tout.

Caractére et tempérament :
Meurtrie, son passé la hanta une période infinie... Elle s'en sortit, à présent ancrée dans une errance d'âme infinie. Tristana hais les femmes, porteuses de la vie, alors qu'elle est la mort. Les souvenir et les erreurs du passé la hantent, qu'a t-elle à présent à craindre de la vie?
Cet être peu scrupuleux eut jadis un coeur, brisé et anéanti... il n'est plus qu'un vague organe battant, gris et sec. Tristana n'est pas influençable, même plutôt entêtée à ne suivre aucun conseil extérieur que ceux de Lélio, LoracL et Daïni, qu'elle écoute toujours...
Elle analyse vite les situations, et ne prend aucune décision à la légère. Ses connaissances du monde et de la vie en fond quelqu'un de redoutablement intelligent, à qui il ne vaut mieux pas avoir à faire. Aidée de ses trois invocations qui la suivent partout, elle ne craint rien, ni les foudres d'un roi, ni la vaillance d'un prince ni la beauté d'une femme. Elle est empoisonnée d'une haine monumentale, et son absence totale de peur en fait quelqu'un de craint et d'audacieux, te téméraire et d'ingérable.
Elle ne connait aucun maître, ni même celui qui gouverne à ce jour le monde... Elle est à son service, mais jamais, au grand jamais, ne se laissera dominer... Jamais.

Qualités et défauts:
Tristana fut quelqu'un de sensible, d'attachant, d'humain... Elle avait ses peurs et ses chagrins. De nos jours, plus rien ne peut la toucher, pas même la mort d'un enfant. Elle est d'une putride froideur, ses yeux ne s'arrêtant jamais sur un être vivant si elle a décréter qu'il était dénué de tout interet. La crainte ne l'habitant pas, elle n'hésite pas à entreprendre de dangereux périples, et à emmener avec elle quelqu'un, pouvant le laisser mourire sur le bord de la route par la suite si elle veut continuer le chemin seule, par lassitude, par amour de la solitude, et par individualisme. Tristana est égoïste et possessive avec ses trois invocations, elle ne vit que pour eux et pour elle même.

Objet particulier:
Tristana détient un poignard dissimulé et une dague à son côté. Elle porte des bijoux en argent, une paire de boucles d'oreilles pendante, des bracelets et trois bagues réparties sur ses deux mains, dans lesquelles quelques vétustes démons ont trouvé abris, ce métal incassable qu'est l'argent. Dans son sac de cuir noir, elle garde précieusement de nombreuses fioles dont la contenance n'est connue que d'elle même, aussi vicieux que vertueux. Une serpe et un mouchoir immaculé.

Physique précis:
Tristana n'est pas impressionnante à première vue. C'est une femme de taille moyenne, maigre, et brune aux cheveux mi-longs souvent remontés en un savant chignon mal fait... Puis s'approchant, son teint cireux, ses yeux d'un gris clair magnifiques encadrés par des cernes sempiternels, ce visage creusé, si jeune et pourtant marqué par la lassitude, ces frèles épaules apparantes sous ces vêtements déchirés et usés, cette paleur...
Une robe d'un rouge sang terrifiant sous un long manteau noir en hiver, cachant une panoplie de cuire protectrice. Cette démarche fière, droite, ce port orgueilleux...
Suivie de Lélio, petit être diforme aux couleurs de l'herbe, marchant derrière elle ou bien callé entre ses bras maigres, de Daïni, volant à son coté, petite créature aux refflet de l'aurore, et LoracL, cheval de très petite taille au regard mauvais, emmenant avec lui le feu incandesçant de la réussite et de la guerre...

[Hj: Vraiment désolée pour le double post, si cela pose un problème j'éditerais immédiatement]

Non non c'est rien pour le double-post, et quelle présentation ^^
Beau boulot
Pour moi tout est ok, je te valide Wink

Merciii =)

Bon jeu à toi Wink

je n'ai que deux choses a dire:
Woaoh et bienvenue !

Invité

Désolé, même pas dit bienvenue ><